TORNADE D'IVRESSE-guerrière -TONNERRE

Il fessait plutôt froid quand je suis
née ... je me souviens du vent qui léchait mon visage endormie
contre le ventre chaud de ma mère. De la pluie glaciale qui
s'abattait sur nous, mouillant le pelage doux de ce que fut ma
génitrice.


Par cette nuit sans lune, une chatte
d'un blanc éclatant nous donna vie, elle portait le doux nom de Joie d'ivresse. Mon père à moitié aveugle nous abritait, sans grand
sucé... il se battait avec la mort, car ma mère dépérissait à
petit feux. Les crie de sa souffrance était telle que toute la meute
était venue nous soutenir dans l'ultime effort qu'elle donna pour
que je naquisse enfin ...

je n'ai aucun souvenir d'avoir eu une
frère ou même une sœur... mais j'appris par la suite que celle qui
était relié à moi était morte en même temps que la belle chatte
blanche qui m'avait donner sa vie pour que je respire.

Oui je grandis sans ma mère. Mon
géniteur était décapité par la nouvelle, et m'en porta
responsable secrètement. Mais ce brave chat solitaire (oui je ne suis pas née chez les tonnerre, mais ma mère l'était) dû nom de Comédie du soir, pour l'amour de ma mère, s'occupa de moi et m'aima de
tout son petit cœur briser, me donnant ce qu'il restait de son état
de vivant. Mon nom est le doux mélange entre ma mère et mon père,
il faut dire que j'avais hérité de sa beauté frappante et du
physique de mon géniteur.



Le temps passa et je grandis, prenant
la fière allure d'une belle femelle au pelage parsemée de couleurs et aux yeux
doré. Tout au long de mon enfance je n'ai connue que la dureté de
mon éducation, faite par mon père qui c'était exilé, voyageant de
terres en terres, m'apprenant la dure vie, de solitaire.

Malgré qu'il me donna un peu de son
amour perdue, jamais il ne prononça un « je t'aime, je suis
fière de toi etc. ... » et ce n'étais pas l'occasion qui
manquait, petit je redoublais d'effort pour que mon géniteur me
remarque et me serre dans ses pattes.... mais jamais il ne le fit, il
semblait rester en vie, dans le seul but de ne pas m'abandonner,
sinon il sauré déjà partie rejoindre sa compagne dans le
territoire des ombres.

A ses yeux je n'étais que l'instrument
de la mort de sa bien aimé, il m'en voulu secrètement et m'en porté
responsable. Enfant j'aurais donné tout et n'importe quoi, pour que
mon père joue avec moi ou me fasse une lèche...

Mon cœur se brisé à chaque fois que
nous, nous arrêtons dans une tribus, quand mes petit yeux dorés
apercevais une famille aimante, ou le père chérissait ses
enfants... a que j'aurais aimé être comme eux.


Le souvenir qui ma fait haïr mon père
fut celui-ci :




Par une belle journée de juin, nous
fessions escale dans une meute de chats pacifique et grandement
accueillant. Je m’amusais beaucoup avec les fils du dominants qui
était adorable et séduisants... je les avais déjà vue auparavant
puisque mon père était amis avec le chef du clan.

Getro le chef, voyait bien que mon père
ne m'accordait aucun amour ... il alla lui parler, sans se douté que
je l'espionnais.



- Mon ami ... pourquoi
n'aime tu pas ton fils, comme doit aimer un père ?

-elle a tué ma compagne

-c'était un accident,
savait qu'elle mourrait en donnant la vie ... elle c'est sacrifié
pour donner vie a cette petite boule de poils.

-je c'est bien ...
-mais ... ?
-je ne peut pas l'aimer, elle ressemble
trop à sa mère, je la haïs pour sa beauté, pour son courage, sa
force
-tu... Tu es jaloux de ton enfant ?
-il est La Chatte idéal dont rêvait ma compagne

-mais c'est ton fils !
-Non, à mes yeux elle n'est qu'un objet
! Un démon qui a tué celle que j'aimais




A ces mots je sentie les larmes
s'écouler de mes yeux ... pour la première fois je pleurais
vraiment, mon cœur était serré et j'avais honte d'avoir cru un
instant que mon père puisse m'aimer un jour.



-laisse nous ta file ... elle saura plus heureux avec nous
-je verrais ...



Puis ils partie dans la foret discuter
encore et encore de mon destin... je couru me cacher dans un buisson
pleurer à chaude larmes ... pourquoi je n'étais pas digne de vivre
heureux comme les autres ? Pourquoi mon père s'obstinait à me haïr
???

Ce fut au tomber de la nuit qu’Itina
la dominante me trouva et me ramena tout en me consolant...

Sa belle voix douce et agréable me
rassura.



-ou est mon père ?
-il ne reviendra plus ...



Je regarda la jolie chatte brune, et me
détacha de son étreinte pour courir dans la foret !

Il m'avait abandonné, il l'avait fait
! Je courue, sans me rendre compte que j'étais sur sa piste.

Jeune adolescente sur son destin perdu
... quand je tombai nez à nez avec lui, c'était près de la petite
falaise qui bordait le foret de pins.

J'étais tellement en colère que je
lui criai dessus !



-Tu m’as abandonné ! Tu n’es pas
capable de m'aimer, alors tu te déleste de moi ! Si maman est morte
ce n'est pas a cause de moi ! Quand je pense que toute ses années je
t'ai aimé, adoré et admirer ... me voilà bien récompenser ! Tu
n’es qu'un lâche égoïste et sans cœur ! Maman n'aurais jamais
voulu que tu deviennes comme cela !



Il me gifla et je tombai à terre, les
yeux plein de larmes ... je ne comptais plus le nombre de fois ou il
avait levé sa patte sur mon petit corps.



-ne parle pas de ta mère avorton !
-tu c'est quand tu à dit a Getro que
je n'étais pas ta fille... je le pense aussi, jamais une chatte aussi belle et gentille n'aurais pu donner a un chat aussi bête et
méchant un enfant ! Elle a dû te trompé pour faire de moi ce
qu'elle aurait voulue que je soie !
-Ferme-là ! Tu ne connaissais pas ta
mère !
-SI, tu m'en parlais tout le temps, et
au cimetière des rêves je l'ai vu et j'ai parlé avec elle !
Si elle avait été en vie, tu m’aurais
aimé?
-Non...



Mon cœur se déchirera à nouveau, mes
larmes s'écoulaient sur le sol ...je relevai la tête vers ce chat gris
qui était mon père, mes yeux le foudroya d'un regard cruelle et
tyrannique, le sien de regard ...

Il tressaillie un court instant.



-alors pourquoi ne m'a tue pas tuer ?
Car tu es lâche et cupide !



Il ne pouvait répondre, ma voix était
si ténébreuse et sans vie que le vieux chat prit peur ... il recula
quand je m’approchais de lui, puis il glissa dans le vide, se
rattrapant au report, je le saisie.

Quand il me chuchota à l'oreille.



-sache que tu es l'enfant d'un autres
... je suis stérile et ta mère m'a avoué dans son dernier soupire
que le chat qui terrorisait nos terres l'avait saillie ... tu porte
son nom et son caractère ! Je te hais car tu es la fille de mon frère
!



A ses mots je le lâchai dans le vide,
regardant sa silhouette grises s'agiter dans l'air, bizarrement je
n'éprouva rien, aucun regret ni tristesse ... je fus rejoint par le
dominant Getro ... combien de temps était-je rester ici à
contempler le vide ? Je ne sais plus... le grand chatnoir me ramena
à la meute ou j'appris de nombreuse choses sur ma mère et mon
soi-disant père. Je finie ma croissance parmi ses chats ...




Voici la fin de mon souvenirs ...quand
j'atteignis l'âge de raison : jeune adulte, j'étais promu à être
le futur prince, puisque l'un des princes m'aimait follement
...

Mais comme j'ai une chance hors normes,
un autre drame se passa... mon futur compagnon mourra assassiné par un chat qui me ressemblais beaucoup. Naturellement je fus exilé du
territoire.

Je tombai bien vite sur l'auteur de mon
châtiment, un grand chat écaillé aux mêmes yeux que le miens ...
j'appris en discutant avec lui qu'il était MON vrais père. Quel fut
ma surprise ...

Pour faire cour je passai tout le reste
de mon temps avec lui ... car sa raison était de me retrouver.

J'appris encore et encore pleins de
chose sur l'imposteur qui m'avait servie de père...

Le grand chat profita mon
éducation déjà très complète... je restai avec lui 2 ans avant
qu'il décède de mort naturel, il faut dire qu'il était sacrément
vieux ...

je pleura pour la 2eme fois, avant de
vagabonder par ci par là ... mais cette histoire là je la garde
pour moi, elle est sous le signe de Satan !

Puis je finassai mon parcours ici dans
cette terre ...ou je fut accepter ... ma mère ... douce étoile avait envoyer un signe au guérisseur ... je fut accepter ...